Au coeur de l’hiver, j’ai découvert en moi un invincible été
Du 29 novembre au 21 décembre 2024, galerie Double V, Paris.
Une partie des ventes reversée à l’institut Marie Curie.
Avec Marcel·la Barceló, Pierre Bellot, Amit Berman, Maty Biayenda, Béa Bonafini, Elvire Bonduelle, Perrine Boudy, Camille Chastang, Dorian Cohen, Cyril Debon, Caroline Denervaud, Félix Deschamps Mak, Karel Dicker, Julian Farade, John Fou, B.D. Graft, Cecilia Granara, Florent Groc, Pauline Guerrier, Cécile Guettier, Alice Guittard, Nathanaëlle Herbelin, Johan Larnouhet, Luís Lázaro Matos, Maëlle Ledauphin, Renske Linders, Salifou Lindou, Maude Maris, Manoela Medeiros, Matisse Mesnil, Marie-Claire Mitout, Terrence Musekiwa, Maximilien Pellet, Madeleine Roger-Lacan, Karine Rougier, Francesc Ruiz Abad, Hugo Ruyant, Ugo Schildge, Mamali Shafahi, Eléné Shatberashvili, Lise Signorini, Pablo Tomek, Théo Viardin, Charlotte Vitaioli, Arsène Welkin.


The Drawer : une nouvelle génération du dessin
Du 6 décembre 2024 au 1 février 2025, à l’Hôtel des arts de Toulon, dans le cadre de la programmation hors-les-murs de la Villa Noailles.
Commissariat de Sophie Toulouse & Barbara Soyer.
Avec Dany Albiach, Gabrielle Alexandre, Lucia Augé, Azad Avaguian-Eurdekian, Léna Bédague, Chloé Inès Berrady, Perrine Boudy, Léonie My Linh Campion, Marguerite Canguilhem, Alix Cassagnes, Antoine Conde, Alaïa Etchegoin, Anaïs Fontanges, Claire Gitton, Elias Hosni, Maëlle Ledauphin, Lucien Lejeune, Lucie Lozano, Lucas Mathieu (Caroub), Sordna-Rémy Neves, Fedor Pliskin, Cléo Robert, Zadig Robin, Karim Saidi, Simon Thouément, Léa Toutain, Elise Weber.
En 2024, la villa Noailles, en partenariat avec la Métropole Toulon Provence Méditerranée et la revue The Drawer s’unissent pour imaginer un rendez-vous autour de la très jeune scène du dessin.
Pour cette première édition, l’exposition à l’Hôtel des Arts TPM présente une sélection de travaux publiés, pour leur très grande majorité, en juin dernier dans le magazine The Drawer vol.24, Under 25, qui réunissait les oeuvres d’une trentaine d’étudiant.es en 4e ou 5e année d’écoles d’art en France et à l’international.Sous le commissariat de Barbara Soyer et Sophie Toulouse et scénographiée par le designer Joachim Jirou-Najou, l’exposition en présente un aperçu, proposant un état des lieux du dessin aujourd’hui, tel qu’il se pense et se pratique en 2024.
Comment les étudiants dessinent-ils ?
Avec quels outils ?
Quelles visées ?
Quel(s) monde(s) dessinent-ils ?
En valorisant la richesse des voies du dessin actuel, envisagé de plus en plus souvent sous forme d’installations, l’exposition est aussi l’occasion de revenir sur les motifs qui le nourrissent, et sur la place, notable, de l’intime et du collectif dans les réalisations et les discours produits. Oscillant entre légèreté et gravité, les dessins des jeunes artistes apparaissent comme des tentatives de tisser des liens entre eux et le monde, donnant à leur histoire personnelle une portée collective, conjuratrice des malheurs et des blocages de l’époque.
Une exposition comme une traversée dans le dessin et les humeurs du moment, où la perméabilité s’organise et où les liens se réinventent, dessinant de nouveaux scénarios.
Le dessin comme espace de liberté, de guérison, de mise à distance et de transformation du monde pour la jeune génération.





Soft touch
Du 11 mars au 29 avril 2023, galerie Sultana Summer Set, Arles.
Curation Margaux Bonopera & Guillaume Sultana.
Avec Adrien Fregosi, Anne-Lise Coste, Apolonia Sokol, Benoit Pieron, Celia Hempton, Dora Jeridi, François Curlet, Gaby Sahhar, Gal Schindler, Georges Bru, Jean Claracq, Jesse Darling, Justin Fitzpatrick, Larry Stanton, Maëlle Ledauphin, Manuel Solano Lozano, Matthias Garcia, Olivier Millagou, Paul Maheke, Pia Camil, Sophie Varin, Susie Green, Valentin Ranger.
L’exposition Soft Touch présentée du 11 mars au 29 avril 2023 au Sultana Summer Set à Arles réunit les œuvres dessinées d’une vingtaine d’artistes. L’ensemble des travaux exposés révèle une importante diversité de formats, de périodes de productions, de sujets représentés ou encore de techniques employées. Soft touch fait référence à un type de pelliculage à l’aspect duveteux et doux qui peut être donné à du papier. Mais c’est également une expression qui définit quelqu’un qui fait preuve de bonté, qui est aimable, a bon caractère. Alors, cette exposition aurait aussi bien plus s’appeler « bonne patte » comme un écho non pas à une malléabilité de caractères des artistes mais à leur dextérité et habileté à créer et dessiner des formes et à leur conférer des textures.
En argot artistique, patte signifie style.
Margaux Bonopera


Il faudrait que je me calme
Du 15 octobre au 19 novembre 2022, galerie Mendes Wood DM, Bruxelles.
Curation Jean Claracq & Nathanaëlle Herbelin.
Avec Jean Claracq, Clément Courgeon, Joséphine Ducat-May, Nathanaëlle Herbelin, Johan Larnouhet, Maëlle Ledauphin, Pierre Seiter, Raphael Sitbon, Thomas Cap de Ville et Miranda Webster.
Avec des œuvres allant de la peinture – nature morte et portrait – à la photographie, la gravure, la sculpture et la performance, l’exposition Il faudrait que je me calme a été conçue autour des notions de collectivité et de collaboration. Herbelin et Claracq ont sélectionné huit jeunes artistes, formés en France et faisant partie des mêmes cercles sociaux et artistiques qu’eux, pour partager l’espace d’exposition.
Réagissant contre un système de galeries qui peut parfois sembler hermétique, non collégial et axé sur le marché, et qui a tendance à favoriser une poignée d’artistes très demandés au détriment des autres, Herbelin et Claracq veulent ouvrir la voie à de multiples voix – à de jeunes artistes, au début de leur carrière. “Les artistes connaissent mieux que quiconque les autres artistes”, déclare Herbelin, “et cela nous place dans la meilleure position pour être commissaires d’une exposition comme celle-ci. Les artistes sont si généreux les uns envers les autres, et c’est tellement important.”
Le titre de l’exposition évoque vaguement un certain nombre d’idées que Herbelin et Claracq ont suivies en sélectionnant les artistes et les œuvres. “Nous avons trouvé ce titre parce que beaucoup de ces artistes résistent d’une certaine manière au rythme du monde de l’art, ce qui nous inspire. En même temps, de nombreuses œuvres, comme les natures mortes et les paysages, ont des qualités méditatives et contemplatives. Nous voulions également reconnaître d’une certaine manière la condition mondiale actuelle, à laquelle ces artistes semblent échapper complètement, ce qui est rare”, explique Herbelin. “Le titre est comme une phrase que l’on pourrait se dire quand on est pressé”, ajoute Claracq. “J’ai l’impression qu’il y a une multitude d’artistes qui réagissent de différentes manières à ce monde, mais toujours de manière bienveillante et significative – c’est une perspective différente sur la colère.”




Le Monde, sinon rien
Pour un Bauhaus du vivant
Dans le cadre de la biennale internationale de design de Saint Etienne, Cité du Design.
Exposition 6 avril - 31 juillet 2022
Commissariat de Sophie Pène et Benjamin Graindorge.